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L’ensemble du travail  plastique de Mayeul Irlinger est d'ordre philosophico-pratique tel qu'on le trouve dans les cultures orientales.

 il questionne la place de l'art dans la société en tant qu'objets de divertissement perceptif . De quoi les œuvres sont elles accessoire? : Mediums intermédiaire permettant un élargissement perceptifs, que sous tendent les œuvres?

Les dispositifs proposés ne sont pas tant des objets de réflexion intellectuelle que des supports permettant une immersion en soi même.

Paradoxalement en concentrant son attention sur des objets extérieurs une rencontre plus vaste est permise. la rencontre avec L SOI impersonnelle, universelle.

les Tableaux mettent l'accent sur l’équilibre entre chaos et organisation: les peintures parlent de la vie comme un tissage complexe de patterns dynamiques évoluant en de multiples dimensions croisées, interreliées, composées de force opposées créant les tensions qui mettent en mouvement la matière.  sans centre: les peintures sont a appréhendé dans leur globalité. Nous ne somme pas loin des recherches immersives que proposeaint Agnes martin ou mark rothko

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La série "Sans Centre" trouve sa source dans une fusion entre les traditions orientales sous leur formes "philosophico-pratique". Cela veut interroger la position de l'art au sein de la société en tant qu'éléments de distraction perceptive. ?De quoi les œuvres sont elles accessoire? Sont-elles simplement des médiums intermédiaires qui élargissent notre perception, dissimulant des significations plus profondes sous leur surface apparente ?Paradoxalement en concentrant son attention sur des objets extérieurs une rencontre plus vaste est permise: peut être la rencontre avec un Soi impersonnelle.

Ces tableaux sont une invitation à plonger. Ils mettent en évidence un équilibre fragile entre le chaos et l'organisation. Ils dépeignent la vie comme un tissage complexe de motifs dynamiques qui évoluent au sein de dimensions multiples, entrecroisées et interconnectées. Ces motifs naissent de forces opposées qui génèrent des tensions, mettant ainsi la matière en mouvement. Une absence de point focal central caractérise ces peintures, lesquelles doivent être appréhendées dans leur globalité pour être pleinement reçus. Dans cette approche, on retrouve des similitudes avec les explorations immersives que des artistes comme Agnes Martin et Mark Rothko avaient également proposées.

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